En mode : bah écoute, la porte est là, te gêne pas !
"Hit the road Jack and don't you come back no more no more (Prends la route Jack, et ne reviens jamais)" (Ray Charles, Hit the road Jack, 1960). "Mate une dernière fois mon derrière, il est à côté de mes valises." (Stromae, Tous les mêmes, 2013). "I love the sound of you walking away (J'aime entendre le son que ça fait quand tu t'en vas)" (Franz ferdinand, Walk away, 2005). "Je peux très bien me passer de toi " (Mano negra, Pas assez de toi, 1989). "How can you say you miss my lovin, (Comment peux-tu dire que mon amour te manque) when you never needed it ? (Alors que tu n'en as jamais eu besoin avant ?) (13th floor elevators, You're gonna miss me, 1966). "Voilà la fin qui recommence. T'avais raison, l'bateau prend l'eau. Je prends la fuite [...]." (La Rue ketanou, La distance, 2014).
En mode bon y'a pas à chier, c'est bel et bien fini.
"I'm losing you again (Je suis encore en train de te perdre). Locking me inside (Je suis en train de m'enfermer)." (Archive, Again, 2002). "J'assistais déjà sans broncher à nos adieux. On n'en aura fait qu'une bouchée, de la vie à deux." (Elista, La vie à deux, 2003). "It's over (C'est terminé), you don't need to tell me (tu n'as pas besoin de me le dire)" (Blur, No distance left to run, 1999). "I'd never dreamed that I'd lose somebody like you (et jamais je n’avais rêvé perdre quelqu’un comme toi)" (Chris Isaak, Wicked game, 1989). "Jour après jour, les amours mortes n'en finissent pas de mourir" (Serge Gainsbourg, La Chanson de Prévert, 1961).
En mode lamentations et aucun amour propre.
"Down on my knees, I'm begging you, Please, please don't leave me (A genoux, je te supplie, s’il-te-plaît ne me quitte pas)" (Ayo, Down on my knees, 2006). "Oh, babe (Oh, bébé). Don't leave me now (Ne me quitte pas maintenant)." (Pink floyd, Don't leave me now, 1979). "I fall to pieces (Je m’émiette) each time someone speaks your name (chaque fois que quelqu'un dit ton nom)." (Patsy Cline, I fall to pieces, 1961). "Janvier à ma fenêtre, je tire le rideau, rien ne sera plus jamais beau. Les gens qui vivent autour de moi savent bien à quel point je t'aime. Ils ne voient pas bouger mes lèvres mais ils savent qu'elles parlent de toi." (Mano Solo, Janvier, 1997).
En mode la vie continue.
"On ne dit rien quand le temps assassin enterre nos amours périssables sous le sable mouvant" (Keren Ann, Le sable mouvant, 2002). "Oublie-moi. Vide ton coeur immense de toutes les larmes que je n'ai pas" (Debout sur le zinc, Oublie-moi, 2001). "Je voudrais vous parler des hommes que j'aime […] quand passe un drame et que l'un de nous il touche, on se donne des prénoms de femmes, et on s'embrasse sur la bouche." (La Rue ketanou, Les Hommes que j'aime, 2002). « Manu, vas pas te tailler les veines, une gonzesse de perdue, c’est dix copains qui r’viennent. » (Renaud, Manu, 1981).
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